On le sait depuis plusieurs années, la NASA est un organisme qui utilise PostgreSQL de manière intensive… Cette fois, on lit dans cet article que « d’ici 4 ans, la NASA s’attend à ce que la base Open Source PostgreSQL atteigne les 20 téraoctets ou 42 milliards de tuples ».

Un exemple de plus, s’il en fallait encore, que PostgreSQL fonctionne –et bien– quelle que soit la volumétrie de la base de données.

Pour ceux qui lisent l’anglais, voici l’article original:http://searchstorage.techtarget.com/news/article/0,289142,sid5_gci1323564,00.html.